L’immobilier en 2021

La fin de l’année civile approche, et avec elle une saison immobilière. Avec une épidémie de coronavirus moins importante mais toujours présente, quelles sont les leçons à tirer de l’immobilier en 2021 ? De même, quelles sont les principales tendances qui se dessinent à l’horizon 2022 ? Les grandes lignes à savoir dans cet article.

Une reprise immobilière dynamique

Après des mois de juillet et août habituellement calmes, la rentrée s’est distinguée par un regain accéléré du marché immobilier en 2021. Au total, ce sont plus d’1,2 million de transactions qui ont eu lieu depuis le début de l’année. Ce chiffre est le plus haut jamais connu, signe que le marché se porte bien. Cette dynamique se retrouve naturellement au niveau des prix. En moyenne ceux-ci ont augmenté de 5,9% depuis le mois de janvier. Cette hausse vise particulièrement les maisons, qui font l’objet d’une demande croissante de la part des acheteurs.

Des exigences plus strictes de la part des acheteurs

Épidémie de coronavirus oblige, le cahier des charges des acheteurs se fait de plus en plus précis. Les expériences successives de confinement ont notamment entraîné de nouveaux besoins en termes d’espace. Ils sont ainsi de plus en plus nombreux à souhaiter un jardin pour profiter de l’extérieur. De même, les résidences secondaires ont le vent en poupe sur le marché de l’immobilier en 2021. Le développement du télétravail a notamment permis à de nombreux acheteurs de se lancer dans de tels projets.

Le boom des villes moyennes et des communes rurales

Si habituellement le marché de l’immobilier est guidé par les grandes métropoles, ce sont les villes moyennes et les communes rurales qui ont animé le marché de l’immobilier en 2021. Ces dernières ont d’ailleurs vu leurs prix augmenter de près de 7% sur l’année civile. Là encore, ces changements d’habitudes sont directement liés à la crise sanitaire, et à l’émergence des nouveaux besoins des français.

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