Immobilier

La résidence secondaire : un investissement qui perdure

Publié par Nicolas Metivier

octobre 2, 2020

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Environ 10% des français possèdent une résidence secondaire. Pour les vacances, ou tout simplement pour changer d’air au cours de l’année, cette option présente en effet de nombreux atouts. Qu’elle soit le fruit d’un héritage familial ou l’objet d’un achat, la résidence secondaire obéit néanmoins à quelques règles. Retour, dans cet article, sur l’essentiel des choses à savoir.

 

L’immobilier : une valeur refuge

Si l’achat d’une résidence secondaire permet d’améliorer son confort de vie, il s’inscrit aussi souvent dans un projet financier d’investissement. Dans un contexte économique parfois incertain, en témoigne la crise sanitaire actuelle, l’immobilier démontre sa solidité sur le plan financier. De plus en plus de cadres supérieurs recourent ainsi à l’achat de villégiatures : en plus d’un cadre de vie agréable, de telles résidences secondaires représentent un investissement à part entière. Qui plus est, ces biens immobiliers participent à la constitution d’un patrimoine conséquent, rassurant quant aux legs à ses descendants.

 

Des frais à prendre en compte

Évidemment, la propriété d’une résidence secondaire engage d’importantes dépenses. Il importe donc de bien anticiper sur celles-ci. Les impôts locaux d’abord : comme pour une résidence principale, celle-ci est soumise à la taxe foncière et aux charges déterminées par la localité. L’entretien ensuite, car un bien inhabité toute l’année exige malgré tout certains travaux. Enfin, certaines particularités juridiques sont à prendre en compte s’agissant des résidences secondaires. Ainsi, la vente d’un tel bien implique une imposition de 36% sur la plus-value, lorsque celui-ci est possédé depuis moins de 30 ans.

 

Résidence secondaire et location saisonnière

Pour faire face aux coûts élevés engagés par l’achat ou la simple propriété d’une résidence secondaire, nombreux sont ceux qui recourent à la location occasionnelle du bien. Pendant les vacances, ou en dehors des périodes estivales, celle-ci permet de couvrir les frais d’entretiens, voire même de réaliser des bénéfices. La location saisonnière a donc encore de beaux jours devant elle.

 

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